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Faye (SE) refuse que le Sycomore devienne un ghetto à Bussy
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T.P.
11 mars 2014, 0h00 | MAJ : 11 mars 2014, 7h25
 
Bussy-Saint-Georges, le 31 janvier. Paul Faye veut porter le débat sur le futur écoquartier au niveau national. (LP/T.P.)
Il a fait ses comptes. Paul Faye, candidat SE à Bussy-Saint-Georges et ex-chef des services administratifs de la commune, estime que presque la moitié de l'écoquartier du Sycomore - projet de 4 500 logements dont la construction doit démarrer l'an prochain - sera constituée de logements sociaux. Ce dont il ne veut pas !
 
« Aujourd'hui nous avons 9 500 boîtes aux lettres dont 17 % de logements sociaux, soit 1 625 habitations aidées, chiffre-t-il. Avec la loi Duflot, nous devons être à 25 % de logements sociaux, et c'est via le Sycomore que nous allons devoir atteindre cette norme. » Il détaille : « Sur les 14 000 logements que comptera Bussy-Saint-Georges une fois l'écoquartier construit, si l'on respecte cette loi, 3 500 devront donc être des logements sociaux. » Or, « il manque donc 1 885 logements sociaux... Et comme il n'y a plus qu'au Sycomore qu'ils peuvent être construits, mathématiquement, 42 % de ce quartier sera constitué de logements sociaux ! »
 
Inacceptable pour le candidat, qui propose, en cas d'élection de « mobiliser tous les habitants, qui seront forcément concernés par ce triste avenir qui se dessine, pour constituer une association et porter le débat au niveau national ». Car Paul Faye estime aussi que « ce ne sont pas les futurs habitants de ces logements aidés, qui ne seront pas imposables, qui pourront financer les équipements induits ». Et d'espérer ainsi que ni le député du secteur, ni le conseiller général se « risqueront à ne pas écouter les habitants » et laisser faire « de Bussy-Saint-Georges un ghetto ».