« Gilets jaunes : mardi 12 février 2019 » : différence entre les versions

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*à Metz, le Leroy Merlin a été bloqué par les Gilets jaunes.
 
À Viviers, le maire Christian Lavis (DVD), refusea refusé de prêter une salle aux Gilets jaunes.
Au micro de France Inter, le sénateur LR Bruno Retailleau, a souhaité un référendum « sur un débat au Parlement sur les quotas » d’immigration, pour faire en sorte que « chaque année, le Parlement puisse débattre de quotas sur les étudiants, sur l’immigration de travail, etc » et ainsi donner « une issue au débat » et sortir de la crise des Gilets jaunes.
 
À Bonne (Haute-Savoie), les gilets jaunes vont fêter leurs trois mois au rond-point.
Sur ''Mayotte la 1ère'', le Directeur Général des Services à la Mairie d'Acoua, Soula Saïd-Souffou, a affirmé que « aucune autre région française ou européenne ne saurait tolérer ou supporter une telle pression migratoire qui déstabilise complètement la société mahoraise. Ce phénomène qui déstructure méthodiquement et insidieusement notre société, ravage notre environnement et met à mal les équilibres du territoire par un usage anarchique et non durable des ressources ».
 
À Sorgues, le siège des Gilets jaunes a été rasé à la tractopelle.
À Paris, à l’Assemblée nationale, lors de la séance de questions au gouvernement, le premier ministre, Edouard Philippe, a annoncé que depuis le début du mouvement :
 
*1 796 condamnations;
À Paris, à l’Assemblée nationale, lors de la séance de questions au gouvernement, le premier ministre, Edouard Philippe, a annoncé quele bilan depuis le début du mouvement :
 
*1 796 condamnations;
*1 300 comparutions immédiates;
*316 mandat de dépôt;
*1 422 sont encore en attente de jugement dont :
** 13 mises en examen pour les dégradations commises autour et à l’intérieur de l’Arc de triomphe le 1er décembre 2018;
**5 mises en examen pour l’incendie de la préfecture de Haute-Loire, au Puy-en-Velay le 1er décembre 2018;
**1 détention provisoire, après la prise à partie de policiers à moto le 22 décembre sur les Champs-ElyséesÉlysées;
*6 interpellations suite à l’intrusion dans le ministère de Benjamin Griveaux le 5 janvier.
 
À Paris, sur France 2, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux, àa appelé à une condamnation "absolument peu ambigüe" de la part de la classe politique face à l'explosion des actes antisémites (74%), en regrettant qu'extrême droite et extrême gauche aient "tardé" à réagir.
 
À Paris, ''Europe 1'' rapportea rapporté que des Gilets jaunes ont condamné les actes antisémites :
 
*Benjamin Cauchy : « je condamne tous ces actes. Ce sont les faits de quelques marginaux, d’abrutis. Et autourAutour de moi, je ne connais personne qui ait applaudi un quelconque tag antisémite »;
*Christophe Chalençon : « je regrette tout acte antisémite, raciste, homophobe. La France, ce n’est pas ça. Tout le monde peut trouver sa place, à condition de se respecter. Et ce n’est pas du tout le combat des Gilets jaunes ».
 
À Paris, l'employé de boulangerie qui avait refusé de servir un policier le [[Gilets jaunes : samedi 2 février 2019|2 février]] a été placé en garde à vue.
 
À Nîmes, les six Gilets jaunes qui avaient incendié le centre des impôts pendant la nuit du 31 au 1er janvier, ont été condamnés de quatre mois de prison ferme à un an de prison, dont huit mois avec sursis pour l'instigatrice, mère de famille âgée de 26 ans.
 
Le journal ''La Voix du Nord'' a publiéepublié un entretien avec Salomé Berlioux, co-auteur du livre « Invisibles de la République » : « 60 % des jeunes Français se sentent hors radar ».
 
À Paris, dans ''Le Figaro'', la sociologue Dominique Schnappera affirmé que le mouvement des Gilets jaunes remet en question la légitimité des élections et le respect de l’État de droit : « Les gilets jaunes ne respectent pas les règles du jeu de la démocratie ».
Dans le journal ''Le Point'', le journaliste Luc de Barochez a publiée un article intitulé « L'Europe rouge-brune des Gilets jaunes » : Les enjeux nationaux cèdent le pas devant de curieuses alliances et la France devient le point de fixation de tous les leaders populistes.
 
Sur ''Mayotte la 1ère'', le Directeur Général des Services à la Mairie d'Acoua, Soula Saïd-Souffou, a affirmé que « aucune autre région française ou européenne ne saurait tolérer ou supporter une telle pression migratoire qui déstabilise complètement la société mahoraise. Ce phénomène qui déstructure méthodiquement et insidieusement notre société, ravage notre environnement et met à mal les équilibres du territoire par un usage anarchique et non durable des ressources ».
À Bonne (Haute-Savoie), les gilets jaunes vont fêter leurs trois mois au rond-point.
 
Au micro de ''France Inter'', le sénateur LR Bruno Retailleau, a souhaité un référendum « sur un débat au Parlement sur les quotas » d’immigration, pour faire en sorte que « chaque année, le Parlement puisse débattre de quotas sur les étudiants, sur l’immigration de travail, etc » et ainsi donner « une issue au débat » et sortir de la crise des Gilets jaunes.
À Paris, dans ''Le Figaro'', la sociologue Dominique Schnappera affirmé que le mouvement des Gilets jaunes remet en question la légitimité des élections et le respect de l’État de droit : « Les gilets jaunes ne respectent pas les règles du jeu de la démocratie ».
 
La YouTubeuse Virginia Vota a affirmé dans une vidéo intitulée « défendreDéfendre la bonne patrie (armez-vos esprits) » que « nos politiques, les républicains, ne se soucient pas de l'intérêt de la France et du peuple français, ils font de la merde, ils méprisent le peuple, ils sont dans une abstraction qui les coupe de notre réalité et forcément des problèmes du quotidien ainsi que les Gilet jaunes le dénoncent. Ces politiques sont des républicains : ils n'ont à cœur que l'intérêt de la république française et la république française se porte très bien ».
À Viviers, le maire Christian Lavis (DVD), refuse de prêter une salle aux Gilets jaunes.
 
Dans le journal ''Le Point'', le journaliste Luc de Barochez a publiéepublié un article intitulé « L'Europe rouge-brune des Gilets jaunes » : Lesles enjeux nationaux cèdent le pas devant de curieuses alliances et la France devient le point de fixation de tous les leaders populistes.
À Sorgues, le siège des Gilets jaunes a été rasé à la tractopelle.
 
La YouTubeuse Virginia Vota a affirmé dans une vidéo intitulée « défendre la bonne patrie (armez-vos esprits) » que « nos politiques, les républicains, ne se soucient pas de l'intérêt de la France et du peuple français, ils font de la merde, ils méprisent le peuple, ils sont dans une abstraction qui les coupe de notre réalité et forcément des problèmes du quotidien ainsi que les Gilet jaunes le dénoncent. Ces politiques sont des républicains ils n'ont à cœur que l'intérêt de la république française et la république française se porte très bien ».
À Paris, ''Europe 1'' rapporte que des Gilets ont condamné les actes antisémites :
*Benjamin Cauchy : « je condamne tous ces actes. Ce sont les faits de quelques marginaux, d’abrutis. Et autour de moi, je ne connais personne qui ait applaudi un quelconque tag antisémite »;
*Christophe Chalençon : « je regrette tout acte antisémite, raciste, homophobe. La France, ce n’est pas ça. Tout le monde peut trouver sa place, à condition de se respecter. Et ce n’est pas du tout le combat des Gilets jaunes ».
== Sources ==
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