« Gilets jaunes : samedi 16 février 2019 » : différence entre les versions
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Selon la Préfecture de police, {{formatnum:5000}} (-{{formatnum:20}}%) personnes ont manifesté. Au total, 26 personnes ont été interpellées, dont 15 ont été placées en garde à vue.
Vers 11h00, plusieurs centaines de manifestants ont commencé à se rassembler place de
Le cortège est parti vers 12h00 au chant de "Emmanuel Macron, on vient te chercher chez toi" pour rallier plusieurs heures plus tard l'esplanade des Invalides (via l'Assemblée nationale, la rue de Grenelle et le siège du Medef). Le Gilet jaune Éric Drouet a pris part au cortège parisien.
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Pour {{w|Alain Finkielkraut}}, ce n'étaient pas des « des Gilets jaunes d'origine », mais des « gens de banlieues, de l'extrême gauche et peut-être aussi des {{w|Alain Soral|soraliens}} », tandis que les autorités on reconnu (et recherche) l'individu à la barbe qui n’est pas considéré comme radicalisé mais qui est proche de la {{w|Islamisme|mouvance salafiste}}. Il encourt un an d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende. En attendant, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour injure publique en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion. Les investigations ont été confiées à la BRDP (Brigade de répression de la délinquance contre la personne).
Les Gilets jaunes se sont immédiatement désolidarisés de cette agression qu'ils ont condamné :
*la Gilet jaune Ingrid Levavasseur a twitté : « l’antisémitisme est une maladie française à guérir. M. Finkielkraut n’a pas à subir des insultes et des intimidations en pleine rue;
*le Gilet jaune Benjamin Cauchy
*d'autres Gilets jaune ont condamné l'agression
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*la présidente du RN, Marine Le Pen
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*le député RNiste Louis Aliot a twitté : « j'avertissais le 7 décembre déjà sur les Gilets rouges, verts ou bruns infiltrés dans les manifestations. Ils ont aujourd'hui attaqué honteusement Finkielkraut. Ces insultes à Finkielkraut sont absolument minables. J’attends de voir qui sont ces haineux »; *
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▲*Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan a twitté : Soutien à Alain Finkielkraut insulté violemment aujourd’hui notamment aux cris de « sale race ». Ce type de comportement doit être condamné. On voit l'islamo-gauchisme qu'ont laissé s'installer les partis donneurs de leçons qui nous gouvernent depuis des années;
▲*Le député Les Républicains Guillaume Larrivé a lui demandé : " Qu'attend le ministre de l'intérieur pour faire interpeller et livrer à la justice, sans délai, la horde antisémite qui s'en est pris, cet après-midi, à Alain Finkielkraut? ".
L'écrivain Bernard-Henri Lévy
Le porte-parole du gouvernement
La journaliste Aude Lancelin, le philosophe Alain Finkielkraut et le journal Libération vont infirmer Griveaux qui affirme avoir entendu « sale juif » :
*Finkielkraut affirmera sur LCI, demain dimanche matin dans l’émission Le Brunch de l’actu (10h-12h);
*Libération : cf. dimanche 17 février;
*Lancelin (18h57) a twitté : « "Sale juif"? Cette phrase est inaudible dans la vidéo. Tous les samedis le porte-parole du gouvernement Griveaux invente un nouveau mensonge gravissime pour faire monter la haine dans le pays. Ces gens ne se battent pas loyalement. Ils sont indignes ».
Plusieurs personnes ont soutenu Griveaux et contredit Aude Lancelin, comme notamment Marc-Olivier Fogiel et Anne Sinclair.
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Aude Lancelin a alors twitté (20h41) : « Après @CCastaner, Benjamin Griveaux. Les samedis et dimanches, les responsables politiques d'un pays au bord de la guerre civile depuis 3 mois n'ont rien de mieux à faire que de monter en épingle des fake news à base d'antisémitisme, et de me chercher sur Twitter. Tout va bien ».
D'après Aude Lancelin, elle
À Orly, lors d'une manifestation contre les nuisances aériennes et contre le projet de la loi Pacte, qui prévoit la privatisation des aéroports d’Orly, le président de debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, a sorti une petite blague en demandant que « les parlementaires et les députés qui viendront ici dans quelques instants parler au nom d'En Marche, et bien ils ne doivent pas ressortir vivants s’ils votent la privatisation parce qu'il est absolument scandaleux... Non mais je plaisante c'est une plaisanterie. Politiquement, il est absolument scandaleux de venir ici défendre les riverain et de voter la privatisation d'Orly, c'est incompatible. Je parlais bien sûr politiquement ». Mais cette blague n'a pas été au goût de tout le monde.
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