« Résultats du premier tour des élections municipales françaises de 2008 » : différence entre les versions

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taux de participation aux municipales définitif :)
m relecture... un fameux « la ville rosse » , mieux que le « une radio fiancée » d'hier ;D
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<span style="font-size:90%"><span style="border:none;color:#FF8080;background-color:#FF8080">██</span> Villes où une liste soutenue par la gauche (notamment le [[w:Parti socialiste (France)|PS]]) arrive en tête</span></div></div>
{{date|9 mars 2008}}
Le premier tour des [[w:élections municipales françaises de 2008|élections municipales françaises de 2008]] se déroulaientdéroulait ce dimanche. Les 44 millions d'électeurs (dont {{formatnum:250000}} citoyens d'un autre pays de l'[[w:Union européenne|Union européenne]]) étaient invités à élire les conseillers des {{formatnum:36782}} communes du pays. Par ailleurs, {{formatnum:2020}} conseillers généraux, représentant la moitié des [[w:Canton français|cantons]], remettaient leurleurs siègesièges en jeu. Les bureaux de vote étaient ouverts jusqu'à 18h voire 19h ou 20h pour les grandes villes.
 
;Taux de participation :
Selon le [[w:Ministère de l'Intérieur (France)|Ministère de l'Intérieur français]], le taux de participation s'élevait, à midi, à 23&nbsp;% pour les municipales (contre 20,57&nbsp;% à la même heure en 2001) et à 22,25&nbsp;% pour les cantonales (contre 19,26&nbsp;% en 2001 et 16,98&nbsp;% en 2004).
 
Alors que le taux de participation avait atteint 67,29&nbsp;% en 2001, il n'a atteint cette fois-ci que 66,5&nbsp;%. Le taux de participation aux cantonales (54,53&nbsp;%) est lui aussi inférieur à celui de 2001 (55,55&nbsp;%) mais supérieur à celui de 2004 (52,64&nbsp;%).
 
;La gauche en position de force
Comme cela était attendu, les listes conduites par la gauche sont globalement en position de force au terme de ce premier tour. La gauche conserve ainsi dès le premier tour Tourcoing, Le Mans, Dijon et Lyon. Elle conquiert même les villes de Nantes, de Rouen, de Laval et d'Alençon et est en très bonne position pour l'emporter dimanche prochain à Lille, Caen, Rennes, Brest et Strasbourg.
 
Cependant, la droite conserve certains bastions : à [[w:Bordeaux|Bordeaux]], [[w:Alain Juppé|Alain Juppé]] est réélu dès le premier tour avec 56,62&nbsp;% des suffrages face à [[w:Alain Rousset|Alain Rousset]] (34,14&nbsp;%). Parmi les membres du gouvernement, Éric Woerth (Chantilly), Xavier Bertrand (Saint-Quentin), Jean-Louis Borloo et Valérie Létard (Valenciennes), Michèle Alliot-Marie (Saint-Jean-de-Luz) et Dominique Bussereau (Saint-Georges-de-Didonne) conservent leur fauteuil, tout comme Jean-François Copé, quiprésident préside ledu groupe UMP à l'Assemblée nationale, à Meaux. À Périgueux, le ministre Xavier Darcos est ) égalité avec la liste du PS (46&nbsp;%).
 
;La gauche en tête à Paris
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;Résultats serrés à Marseille comme à Toulouse
Dans la cité phocéenne, Jean-Claude Gaudin, le maire UMP sortant, et le socialiste Jean-Noël Guérini obtiendraient respectivement 41&nbsp;% et 39&nbsp;% des voix. Avec 9&nbsp;% des voix, la liste du FN est en mesure de se maintenir dans certains arrondissements de la ville tandis que le Modem dépasse tout juste la barre dedes 5&nbsp;%.<br />
À Toulouse, le maire sortant (centriste soutenu par l'UMP), Jean-Luc Moudenc a quelques points d'avance sur son rival socialiste Pierre Cohen (42,6&nbsp;% contre 39&nbsp;%) mais disposentdisposet de très faibles réserves de voix. Dans la ville rosse, ni le candidat du Modem Jean-Luc Forget (6&nbsp;%), ni la liste LCR (5,07&nbsp;%), ni la liste altermondialiste de François Simon (5,42&nbsp;%) ne pourront se maintenir.
 
== Notes ==