« COVID-19 : un confinement prolongé pourrait mettre en grande difficulté l'économie française » : différence entre les versions
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Ne pouvant instaurer l'obligation du port du masque faute de stock disponible, la France a choisi le confinement que la grande majorité des Français respecte, hormis les automobilistes contrevenants qui risquent trois ans de suspension du permis de conduire.
Le confinement a conduit de nombreux secteurs (événementiel, spectacles, restaurants) à se retrouver dans le rouge et le chômage le « plus généreux d’Europe » met en grand danger les finances de l'{{w|Unédic}}. L'aide gouvernementale de 8,5 milliards d'euros des deux mois ne suffira probablement pas : {{citation|ce sera probablement beaucoup plus, je ne vous le cache pas}} a affirmé le ministre de l'
Pour Eric Chaney, économiste à l’{{w|Institut Montaigne}}, le temps du confinement déterminera le coût de la crise découlant du coronavirus : {{citation|nous pourrons tenir un trimestre, peut-être deux avec l’aide de la Banque centrale européenne}}. Mais plus la crise sanitaire durera, moins ce sera soutenable.
Alors que le projet de loi de finances rectificatif
Sur RTL, le journaliste François Lenglet prévient : {{citation|ce n'est pas une récession, c'est une dépression qui se prépare}}.
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La journaliste Florence de Changy affirme que les mesures extrêmes « à la chinoise » du confinement ne sont pas viables ou soutenables au-delà de quelques jours : le terrible impact, social et économique, que va avoir ce confinement risque de s’avérer fortement disproportionné aux résultats obtenus sur la maîtrise de l’épidémie. À Hong-Kong, la propagation du virus a été quasiment arrêtée par le port du masque par l'entière totalité de la population.
== Sources ==
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