« France : le plan de déconfinement annoncé à l'Assemblée nationale » : différence entre les versions

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===Déclaration à l'{{w|Assemblée Nationale}}===
Selon lui, "{{Citation|un confinement prolongé aurait pour la nation, des conséquences gravissimes" notamment économiques, la restriction de liberté d'aller et venir "présenterait pour le pays, le risque de l'écroulement", explique Edouard Philippe. "Il nous faut progressivement procéder à un déconfinement aussi attendu que risqué et redouté". Cependant "nous allons devoir vivre avec le virus, il va continuer à circuler parmi nous"}}, détaille Edouard Philippe. "Il nous faut donc apprendre a vivre avec et nous en protéger", ajoute-t-il.
 
Il explique également que les spécificités des territoires seront prises en compte, afin d'adapter les mesures au niveau local. {{w|Edouard Philippe}} rencontrera ainsi les élus locaux et partenaires sociaux pour implémenter les nouvelles mesures. Le déconfinement sera donc progressif, en fonction des territoires et des évolutions de la pandémie de {{w|COVID-19}}. "Nous allons surveiller tous les indicateurs que nous pouvons lancer les opérations à cette date". "Si les indicateurs ne sont pas au rendez-vous nous ne déconfinerons pas ou nous le ferons plus strictement". Une grande flexibilité sera de mise pour adapter ces détails explique-t-il : "Je veux laisser le maximum de souplesse au terrain, en la matière".
 
 
[[File:Édouard Philippe 2019 (cropped).jpg|vignette|left|alt=|Édouard Philippe, qui était très attendu sur la question du déconfinement.]]
 
Les masques et les tests sont aussi des enjeux prioritaires pour le gouvernement : "nous incitons les acteurs à se procurer des masques (...) Nous recevons 100 millions de masques chirugicaux par semaine et 20 millions de masques en tissu avant la fin mai". Au moins 700 000 tests virologiques par semaine, au 11 mai seront mis en place.