« Carla del Ponte publie ses mémoires dans un livre qui dérange » : différence entre les versions

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[[Image:Carla del Ponte 4 cropped.jpg|thumb|right|Portrait de Carla del Ponte.]]
{{date|14 avril 2008}}
La sortie d'un livre intitulé « ''La caccia, io e i criminali di guerra'' » (en [[w:italien|italien]] « ''La chasse, moi et les criminels de guerre ''») publié en [[w:Italie|Italie]] par [[w:Carla Del Ponte|Carla Del Ponte]], provoque de nombreux remous suite à des révélations selon lesquelles des leaders [[w:Kosovo|kosovars]] seraient impliqués dans un [[w:trafic d'organes|trafic d'organes]]. Le [[w:Département fédéral des Affaires étrangères (Suisse)|Département fédéral des Affaires étrangères]], actuel employeur de Carla Del Ponte, lui a interdit de participer à une conférence de presse à [[w:Milan|Milan]] pour la sortie son livre.
 
Dans cet ouvrage co-signé avec Chuck Sudetic, un journaliste du ''[[w:New York Times|New York Times]]'', l'ancien [[w:procureur|procureur]] général du [[w:Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie|Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie]], révèle que 300 prisonniers [[w:serbe|serbe]]s de l'UCK, dont des femmes, ont été victimes d'un trafic d'organes pendant l'été 1999. Transférés du Kosovo en [[w:Albanie|Albanie]], ils étaient opérés par des chirurgiens qui leur retiraient différents organes, dont certains jusqu'à la mort. L'ouvrage précise que [[w:Hashim Thaci|Hashim Thaci]], actuel chef du gouvernement kosovar, était au courant de cette affaire tout comme plusieurs autres responsables kosovars.