« Québec : prolongement jusqu'au 23 novembre des mesures restrictives face à la COVID-19 » : différence entre les versions

Le [[w:Gouvernement François Legault|gouvernement du Québec]] àa fait l'annonce, lundi 27 octobre, de sa décision de prolonger les mesures sanitaires en vigueur {{Citation|visant à freiner la propagation de la [[w:Pandémie de Covid-19 au Québec|COVID-19]]}} jusqu'au 23 novembre prochain. Cette décision touche tous les québécoisQuébécois se trouvant en « zone rouge », soit la très grande majorité des régions fortement peupléepeuplées de la province. C'est la constante augmentation du nombre de cas d'infections, entre 800 et 10001 000 cas par jour, qui a entrainéeentrainé cette décision.

Le [[w:Premier ministre du Québec|Premier ministre]], {{w|François Legault}}, a mentionné qu'il aimait mieux agir ainsi parce qu'il se donnait comme ligne de conduite de {{Citation|dire la vérité aux Québécois tout en leur donnant un peu d’espoir}}. Il a aussi indiqué que des assouplissements aux mesures restrictives pourraient être envisagées dans quatorze jours si {{Citation|une baisse soutenue des cas, des éclosions et des hospitalisations est[était] constatée}}.

Les mesures restrictives mises en place font en sorte que seulseules les activités comme aller travailler ou aller à l'école se poursuivent de façon quasi-normale et que même un employeur qui négligerait de respecter les règles pourrait se voir contraint de fermer le lieu de travail. Le secteur scolaire sera aussi touché par de nouvelles mesures, le gouvernement ayant décidé que les élèves du secondaire trois iront en classe un jour sur deux, une mesure déjà en place depuis le 4 octobre pour les étudiants des secondaires quatre et cinq.

Cependant, pour un bon nombre de secteurs d'activités, la vie normale ne sera pas de retour, ; les restaurants, bars, casinos, salles de spectacles, cinémas, théâtres, musées ainsi que les centres sportifs resteront fermés. Des interdits frappent aussi les rassemblements privés, à l’intérieur comme à l’extérieur. Plusieurs intervenants des secteurs touchés par ces fermetures ont mentionnésmentionné qu'ils avaient proposé des solutions ou misesmis en place des mesures rendant leur activité sécuritaire face à la propagation du virus.