« Québec : des conduites en amiante-ciment utilisées dans les réseaux d’aqueduc de villes québécoises » : différence entre les versions

{{Date|25 mai 2021}}L’équipe d’enquête du {{W|le Journal de Montréal|Journal de Montréal}} estime que plus de 10001 000 km de conduites d’{{W|aqueduc}} au {{W|Québec}} pourraitpourraient être constituéconstitués d’un composé d’{{W|amiante-ciment}} (aussi connu sous le nom de fibrociment). Toujours selon les données du Journal de Montréal, 177 {{W|Municipalité locale (Québec)|municipalités}} québécoisequébécoises auraient de telles conduites dans leur réseau d'aqueduc.

Selon, un rapport du {{W|Bureau d'audiences publiques sur l'environnement|Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE)}}, les conduites en amiante-ciment pourraient libérer des fibres d’amiante dans l’eau qu’elles acheminent aux robinets des Québécois.

Le {{W|Ministère de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques|ministre de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques}}, {{W|Benoit Charette}}, indique que Ll'{{W|Organisation mondiale de la santé|Organisation mondiale de la santé (OMS)}} et {{W|Santé Canada}} considèrent qu'il n'existe pas de données probantes liant l'ingestion d'amiante à des problèmes de santé.

Aux États-Unis, l'{{W|Environmental Protection Agency|Environmental Protection Agency (EPA)}} reconnait que l'ingestion de fibres d'{{W|amiante}} augmente le risque de développer des {{W|polype|polypes}} intestinaux. Elle impose une norme maximale de 7 millions de fibres d’amiante par litre d’eau aux exploitants d'aqueducaqueducs américains.