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Au jeudi 14 octobre, dans les rues de la capitale libanaise de {{w|Beyrouth}}, au moins six personnes ont été tuées lors d'une manifestation devenuea violente.débouché Il y asur aussides 30violences blessésmeurtrières.
 
La manifestation avait été organisée par les deux mouvements {{w|HezbolahHezbollah}} et {{w|Mouvement Amal (Liban)|Amal}}, pour exiger le licenciement du juge Tarek Bitar. Celui-ci a été chargé de l'enquête sur les {{w|explosions au port de Beyrouth de 2020|explosions au port}} de l'année dernière. Dans le secteur de Tayouné, des personnessnipers inconnuesinconnus ont commencé à tirer le feu sur les manifestants. Selon les messages officiels, 7 personnes ont été tuées, dont six manifestants. L'autre victime tuée est une femme de 24 ans. Il y aussi 30 blessés. Le lieu de l'incident est non loin du Palais de justice, où une masse de plusieurs centaines de manifestants s'était rassemblée.
 
Les assaillants sont toujours inconnus, mais Hezbollah et Amal accusent la formation chrétienne des {{w|Forces libanaises}} d'être responsable. Celle-ci démentit.
Après les violences, l'armée libanaise a fait neuf arrestations.
 
Après les violences, l'armée libanaise est entrée en action et a fait neuf arrestations.
 
Au vendredi, une journée de deuil national a été décrété et les victimes mortes ont été inhumées.
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| publication = France 24
| date = 15 octobre 2021
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* {{source|langue=fr
| url = https://www.lesclesdumoyenorient.com/Violences-a-Beyrouth-quand-la-crainte-d-une-nouvelle-guerre-civile-place-l.html
| titre = Violences à Beyrouth : quand la crainte d’une nouvelle guerre civile place l’enquête sur l’explosion du port au second plan
| auteur =
| publication = Les clés du Moyen-Orient
| date = 18 octobre 2021
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