« L’Agence européenne des médicaments approuve l’utilisation en cas d’urgence des pilules anti-Covid de Merck » : différence entre les versions
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{{citation|L’EMA a émis cet avis pour soutenir les autorités nationales qui peuvent décider d’une éventuelle utilisation anticipée du médicament avant l’autorisation de mise sur le marché, par exemple dans les situations d’urgence}}, observant {{citation|des taux croissants d’infection et de décès dus à la COVID-19 au sein de l’[[w:Union Européenne|UE]]}}, a souligné le régulateur européen dans un communiqué. Le médicament, connu sous les noms de {{w|Molnupiravir|Lagevrio}} ou {{w|molnupiravir}}, {{
Pour ce qui est des effets secondaires, l’agence rapporte des cas {{citation|tous légers ou modérés}} relatifs à des diarrhées, des nausées, des vertiges et des maux de tête.
En revanche, le régulateur ne recommande pas la pilule anti-COVID-19 {{
[[Fichier:Merck Research Laboratories.jpg|alt=Image d'un laboratoire de recherche de Merck|vignette|Laboratoire de recherche de Merck]]
Même si le médicament n’est pas encore approuvé totalement, l’EMA a donc ''« émis des recommandations »'' afin que les pays de l’Union européenne puissent individuellement décider de l’utiliser en cas de pic d’infections. La France a déjà commandé {{formatnum:50000}} doses de cette gélule, Clarisse Lhoste, présidente de MSD-Merck France, annonçait hier sur LCI travailler {{citation|étroitement avec les autorités pour la mettre à disposition mi-décembre}}, dans le pays ; {{citation|{{formatnum:50000}} doses de ce médicament vont être livrées à la France à compter des derniers jours de novembre ou des premiers jours de décembre, c’est-à-dire dès que les traitements sortiront des chaînes de production}}, déclarait {{w|Olivier Véran}} fin octobre, lors d’une audition au Sénat.
L’EMA a annoncé plus tôt dans la journée le lancement de l’examen pour l’utilisation, en cas d’urgence, de l’autre pilule anti-COVID-19, celle de {{w|Pfizer}}, par les États membres avant son autorisation au sein de l’UE. {{w|L’EMA commence cet examen pour aider les autorités nationales qui peuvent décider de son utilisation précoce pour la COVID-19, par exemple dans les situations d’urgence}}, a annoncé le régulateur européen dans un communiqué. [[w:Joe Biden|Joe Biden]] n’a pas attendu le feu vert du régulateur américain pour en commander 10 millions de doses, pour 5,29 milliards de dollars, dont les premiers comprimés devraient être livrés d’ici la fin de l’année et en 2022.
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