« Communauté valencienne : Catalunya Ràdio et Catalunya Informació désormais hors-la-loi » : différence entre les versions

Le ministre se réserve le droit d'infliger une amende aux deux radios pouvant aller jusqu'à {{formatnum:500000}} euros pour chacune d'entre elles si elle continuaient leurs émissions. Les radios ont reçu, le 17 janvier dernier, une mise en demeure a fin qu'elles arrêtassent le signal. L'automne dernier, le gouvernement valencien, dirigé par ce même parti populaire a décidé la fermeture de la télévision valencienne qui émettaient en valencien, une variante du catalan. En 2011, il a déjà interdit la chainechaîne de télévision catalane, TV3, malgré une vague de protestations dans le pays.

Les hommes politiques catalans ont estimé ciciceci comme une nouvelle attaque en vue de l'éradication du catalan, et aussi une des mesures de rétorsion après l'annonce du référendum d'autodétermination de la Catalogne pour le 9 novembre de cette année. La presse a publié plusieurs réactions des politiques catalans.

L'Union des journalistes valenciens a publié un communiqué de presse selon lequel elle manifeste sa {{Citation1|contrariété et son refus de la fermeture du signal de Catalunya Ràdio et de Catalunya Informació}} en la Communauté valencienne. Elle a ajouté : {{Citation1|L'Union des journalistes valencien comprend cette action comme une attaque répétée contre la pluralité informative et une suppression de plus dans les droits à l'information de la citoyenneté.}} Elle a relevé qu'à ceci s'ajoutent celles de la télévision valencienne<ref>RTVV.</ref> , et des émissiosémissions et desde télévisions locales, le catalan ayant {{Citation1|chaque fois moins de présence dans les médias valenciens}}, peut-on lire dans le journal catalan ''Ara''.