« France : la CGT empêche la publication des journaux qui ne relaient pas un appel du syndicat » : différence entre les versions

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{{Chapeau|''« Scandaleuse », « atteinte à la démocratie », « honteuse et stupide », « chantage honteux », « prise d'otage » et « censure ». Tels sont les mots employés en ce jeudi matin en {{w|France}} après le blocage de la parution des quotidiens nationaux par la {{w|Confédération générale du travail}} (CGT) du livre''}}
[[Fichier:PhilippeMartinez.jpg|thumb|upright=1.1|Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT.]]
[[Fichier:L'Humanité.svg|thumb|upright=1.1|''L'Humanité'', seul quotidien national français à paraître aujourd'hui.]]
{{Date|26 mai 2016}}
« Scandaleuse »Cependant, « atteinte à la démocratie », « honteuse et stupide », « chantage honteux », « prise d'otage » et « censure ». Tels sont les mots employés en ce jeudi matin en {{w|France}} après le blocage de la parution des quotidiens nationaux par la {{w|Confédération générale du travail}} (CGT) du livre. Mais tous les journaux n'ont pas subi le même sort, suivant qu'ils avaient accepté ou non de publier une tribune du patron de la CGT {{w|Philippe Martinez}}. La publication des journaux avait, par ailleurs, déjà été bloquée le 31 mars et le 28 avril, mais il s'agit de la première fois que la grève, dans le cadre de la protestation contre le projet de {{w|Loi Travail}}, de la CGT du livre a des ''conséquences sélectives''.
 
=== Seul ''L'Humanité'' présent dans les kiosques ===