« France : 11e édition de Planete PME » : différence entre les versions

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{{citation à gauche|Il s'agit de poser les bonnes questions pour agir ensemble au service du bien commun.|||Jean-François Roubaud, président de la [[w:Confédération générale des petites et moyennes entreprises|CGPME]].|largeur=40%}}A titre de comparaison, la CGPME représente {{formatnum:1.7}} million de PME françaises, revendique {{formatnum:600000}} adhérents<ref>Selon {{w|Michel Offerlé}}, la CGPME compterait moins de 300000 adhérents.</ref>{{,}}<ref>Nicolas Lagrange, « De gros enjeux chez les patrons », Liaisons sociales, no 143, juin 2013, p. 20-25</ref> par le biais de ses {{formatnum:200}} [[w:branches professionnelles|branches professionnelles ou syndicats de métier]] et ses {{formatnum:121}} [[w:Union départementale|unions territoriales]]. En tant que président de la CGPME, [[w:Jean-François Roubaud|Jean François Roubaud]] a rappelé que {{citation|bien que les PME de moins de 249 salariés représentent que 52% de l'emploi salarié en France, elles sont à l'origine de 82% des emplois créés sur longue période}}<ref>Sources : [[w:Ministère de l'Économie et des Finances (France)|MINEFI]] 2008 et 2010</ref>. Il convient de rappeler que l'économie française est particulièrement concentrée puisque {{formatnum:200}} {{citation|grandes entreprises}} emploient 30 % des salariés et réalisent un tiers de la valeur ajoutée marchande<ref>[http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1399 Insee : Un tissu productif plus concentré qu’il ne semblait]</ref>.
 
Arnaud Berger de la [[w:Banque populaire|banque populaire]] a décrit le marché émergeant de l’[[w:Efficacité énergétique (économie)|efficacité énergétique]]<ref>Ce marché pourrait atteindre €{{formatnum:5.6}} milliards d'ici 4 ans.</ref> qui devrait être boosté par une hausse de 50% du prix de l'énergie<ref>Suite au {{w|pic pétrolier}} de 2004, toutes les énergies (fossile gaz, charbon, nucléaire, renouvelables...) sont corrélées et tendent à s'aligner sur la limite de $120 le {{w|baril}} de pétrole (prix maximum actuel sous risque de récession du marché).</ref> et l'explosion de la [[w:Bulle (économie)|bulle spéculative]] sur les [[w:Gaz de schiste|gaz de schiste]] d'ici cinq ans. Il a rappelé comment les {{w|grands comptes}} avaient fermé les marchés émergents des énergies [[w:Énergie éolienne|éoliennes]] et [[w:Énergie solaire photovoltaïque|photovoltaïques]] aux PME<ref>[http://www.enerzine.com/1/11268+le-conseil-detat-maintient-le-moratoire-photovoltaique+.html Le Conseil d'Etat maintient le moratoire photovoltaïque]</ref>, dès que la rentabilité de ces [[w:Filière|filières]] a atteint un nombre à [[wikt:double-digit|deux chiffres]]<ref>c'est à dire un taux de {{{w|rentabilité}} compris entre 10 àet 12%</ref>. Contrairement à l'{{w|Allemagne}} où ces marchés sont restés ouverts aux PME-[[w:Entreprises de taille intermédiaire|ETI]], cette captation par des gros opérateurs se serait traduit par la perte de dizaines de milliers d'emplois en France.
 
Planete PME s'est terminée par l'assemblée plénière animée par Bruno Fuchs en présence de Jean-François Roubaud, [[w:Fleur Pellerin|Fleur Pellerin]], [[w:Franck Mesnel|Franck Mesnel]], [[w:François Pérol|François Pérol]], [[w:Thierry Marx|Thierry Marx]]<ref>chef étoilé du [[w:Mandarin Oriental Paris|Mandarin Oriental Paris]] (3 mois d'attente pour une réservation]</ref>, [[w:Gérard Mestrallet|Gérard Mestrallet]], [[w:Nicolas Dufourcq|Nicolas Dufourcq]] et [[w:Jean-Marc Ayrault|Jean-Marc Ayrault]].